lundi 16 novembre 2009

Le vieux qui lisait des romans d'amour


Lorsque les habitants d'El Idilio découvrent dans une pirogue le cadavre d'un homme blond assassiné, ils n'hésitent pas à accuser les Indiens de meurtre. Seul Antonio José Bolivar déchiffre dans l'étrange bléssure la marque d'un félin. Il à longuement vécu avec les Shuars, connaît, respecte la forêt amazonienne et à une passion pour les romans d'amour. En ce lançant à la poursuite du fauve, Antonio José Bolivar nous entraîne dans un conte magique, un hymne aux hommes d'Amazonie dont la survie même est aujourd'hui menacée.

Sûrement le livre que j'ai le plus souvent lus.

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